Une tradition venue des Etats-Unis, une salle mythique parisienne et des goodies à gogo. L’Ecran Pop organisait jeudi 7 septembre sa toute première séance de cinéma-karaoké – « singalong » en VO. Guimauve ne pouvait que se glisser parmi des participants déjà survoltés avant même le début du film.
Pouvoir chanter à tue-tête dans la salle de ciné sans risquer de se faire engueuler par le voisin. Avouez qu’on en a tou(te)s rêvé. Alors quand on a vu que c’était exactement ce que proposait L’Ecran Pop avec Mamma Mia, on a foncé. Et rapidement pris nos places. La salle numéro 2 du Grand Rex était complète, ce jeudi 7 septembre, pour la première du cinéma karaoké. A l’entrée, un sachet surprise est distribué à tous les participants. A l’intérieur ? « Tout ce qu’il vous faut pour s’amuser pendant la projection », promet une animatrice dont la tenue – débardeur, jupe longue et grosse ceinture – nous embarque déjà sur l’île grecque où se déroule notre aventure du soir.
Un ballon à gonfler, un flacon pour faire des bulles de savon, un sifflet (que notre voisine de derrière a un peu trop utilisé), un bonbon pour la gorge (très utile à l’issue de la séance) ou encore un ticket numéroté qui, si tiré au sort, permet aux chanceux de grimper sur scène pour participer à l’une des animations proposées, entre blindtest et quiz, avec à la clé de très jolis cadeaux. Certains ont sorti leurs plus beaux costumes et participent à un concours remporté par la petit Colombe et sa combinaison à paillettes roses.
Puis vient enfin le moment du film et tout le monde se lâche un peu plus. Les ballons s’agitent dans les airs, ça se lève sur les chansons d’ABBA les plus célèbres, ça crie à chaque apparition de Pierce Brosnan et Colin Firth, à chaque réplique savoureuse. Et ça chante surtout, oh oui ça chante. Sans retenue et avec passion. Alors on ne peut que vous conseiller de vous rendre à la séance de rattrapage déjà programmée le 2 novembre prochain.
Plus d’informations sur une prochaine séance de Mamma Mia ! sur la page Facebook de L’Ecran Pop.