Les (més)aventures de Dylan reprennent sur Netflix ce lundi 1er janvier avec la saison 3 de Lovesick. Un entrelacement de romances peu conventionnelles, sur fond de MST, qu’il vous faut absolument regarder. Parole de Guimauve !
De quoi ça parle ?
Dans Lovesick, Dylan (Johnny Flynn) est un romantique invétéré qui a un peu (beaucoup) de mal dans ses relations avec le sexe opposé. De plus, sa situation se complique encore lorsqu’il il est testé positif aux chlamydiae.
Le jeune homme part alors à la recherche de toutes ses anciennes conquêtes pour les prévenir. Chaque épisode porte d’ailleurs le prénom de l’une d’entre elles. Mêlant flashbacks et présent, il nous fait ainsi revivre ses histoires. Tout en multipliant les galères avec ses amis tout aussi paumés que lui…
Pourquoi on vous en parle ?
Parce que les galères de Dylan sont finalement les galères de beaucoup et que la romance y est présentée sous ses aspects les moins glamour. Parler amour en parlant MST, avouez que ce n’est pas commun. Tout est loin d’être rose dans cette série au titre adéquat : Lovesick, « malade d’amour ».
C’est beaucoup plus poétique que le titre d’origine, « Scrotal recall » (« le rappel du scrotum), utilisé lors de la diffusion de la première saison sur Channel 4 en 2014. On ne remerciera jamais assez Netflix d’avoir donné une seconde vie (et un nouveau nom) à ce show britannique dont la saison 3 débarque ce lundi 1er janvier 2018.
Pourquoi on vous la conseille ?
Parce que c’est une série britannique qui, forcément, a cette touche d’humour british et d’irrévérence qui va bien. Lovesick est drôle. Sans jamais sombrer dans le vulgaire, elle offre une palette de seconds rôles à la fois hilarants et touchants.
Il y a Evie (Antonia Thomas, vue dans Misfits), la meilleure amie de Dylan avec qui la frontière avec l’amour n’est jamais bien loin sans jamais être franchie. Il y a aussi Luke (Daniel Ings), le meilleur ami auto-centré et Angus (Joshua McGuire), le plus excentrique de la bande.